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CaDerange
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17 mars 2014

Abattage rituel et traitement des animaux.Le danemark l'a impose

L'humanite commence  a s'intéresser a la manière dont les humains traitent les animaux qui sont en principe leurs égaux dans la création de l'humanite par un créateur de votre choix ou par les processus biologiques identifiées par les chercheurs; Malheureusement pour ces espèces, nous nous sommes mis a nous nourrir de leur chair, les avons chasses ou péchés depuis des millénaires avant de passer a leur élevage et a leur abattage final

Au fil des siècles et du développement économique et industriel, Il est apparu peu a peu des défenseurs des animaux qui se sont mobilises  pour réglementer leur conditions d'elevage et leur mode d'abattage pour les rendre plus "humains". Avec quelques succes  comme l'accroissement de l'espace qui leur etait devolu durant leur elevage ou comme de rendre plus rapide et moins douloureux la maniere dont on les abattaient.Beaucoup reste a faire neanmoins dans ce domaine soit pour etendre geographiquement ces ameliorations de leur conditions d'elevage soit pour etendre la moindre dolorosite de leur conditions     d'abattage.

Si je vous en parle aujourd'hui, c'est parce que c'est la que le bat blesse. Car l'abattage des animaux pour la consommation humaine est souvent fait dans des conditions edictees par diverses religions avec un lien avec  la consommation ou le rejet du sang de l'animal pour la consommation humaine voire celui de telle ou telle race d'animal, souvent pour des causes de sécurité sanitaire.L'inconvenient,c'est que, des que ces conditions sont edictees par telle ou telle religion, elles deviennent intouchables pour cause de leur caractere sacre ou sacralise.

Ainsi en est il de l'abattage rituel hallal ou casher qui, avec les brassements de population, se sont largement repandus et qui impliquent l'egorgement de l'animal.La decouverte de l'importance de ces abattages en France suscita il y a quelques annees, outre la surprise de notre ignorance de l'importance du phenomene, la decouverte que, sans le savoir, nous consommions eventuellement de la viande abattu suivant ces rituels. Par contre il n y eu pas de levee de bouclier contre la maltraitance emvers les animaux que signifie ces abbatages.

Certains pays s'en sont par contre emus, comme le Danemark qui depuis le !7 fevrier, a rendu obligatoire l'assommage de l'animal avant de l'egorger. En Grande Bretagne egalement, le nouveau president de l'Association des veterinaires a declare "qu'une bete a qui l'on tranche la gorge ressent l'enorme blessure des tissus de la nuque, le sang qu'elle va inhaler avant de perdre connaissance" et qu'il y a donc dans ce mode d'abbatage Cinq a Six secondes de souffrance intense. Un traitement que d'apres lui aucune religion ne peut justifier.Et donc de demander que la Grande Bretagne adopte la meme reglementation qu'au Danemark.

Il y a 600 000 animaux saignes de cette maniere toutes les semaines en Grande Bretagne. D'apres le Times les abbatages hallal s'y font apres assommage de l'animal mais pas les abbatages casher et que ces viandes sont commercialises sans le moindre marquage du type d'abbatage.

Qu'en est il en France, je ne sais. Les reportages parus il y a 2/3 ans nous montraient en tous cas que l'egorgement etait tres douloureux pour l'animal et que ce type de traitement etait autrement plus atroces que les problemes d'espace limite pour les poulets ou les veaux. Peut etre nos medias pourrraient ils s'y interesser plutot que de nous saturer par de basses histoires politiciennes.

La Commission Europeenne doit elle en principe se pencher sur la normalisationn de ces regles au niveau europeen... 

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Commentaires
S
L'attention s'est focalisée sur l'abattage "hallal", et "casher", qui ont pris une importance en quantité, en raison du développement des communautés concernées, la musulmane, en particulier. Mais c'est oublier qu'il n'y a pas si longtemps, l'abattage du cochon, en famille, élargie au voisinage solidaire, se faisait par égorgement, indispensable à la fabrication du boudin, délice pour les amateurs. Que celui des volailles se faisait de même. Il n'y avait pas de sens religieux(siège de la vie dans le sang. Interdiction de manger un être vivant) à ces méthodes, mais la commodité et l'efficacité. <br /> <br /> L'abattage campagnard a disparu, mais l'égorgement est réapparu pour des raisons religieuses. Et les religions concernées donnent aux réticences le sens d'une persécution.
CaDerange
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