Liberté d'expression de la presse, que ne ferait on pas en ton nom!

Vous avez entendu parler dans nos médias des bisbilles entre PPDA et son employeur d'avant sa retraite, TF1, concernant les commentaires peu amènes qu'il a fait sur son employeur après son départ. PPDA a du talent mais il semble aussi avoir la rancune facile.

S'il y a conflit, c'est parce que PPDA, dans l'accord de séparation avec son employeur, avait accepté une compensation, modeste, en échange de son silence sur les années qu'il avait passé à TF1 et les désaccords qu'il avait pu avoir, dans ce cadre, avec la hiérarchie de son employeur. Il s'agit d'un accord "commercial" parfaitement normal  que PPDA n'a apparemment pas respecté.

Il a donc été condamné en première instance et maintenant en appel à payer 400 000 euros à TF1 qui sont à payer immédiatement même s'il décide d'aller en cassation.Ce qui ressort dans les médias c'est l'énormité de la somme imposée à ce "pauvre" PPDA et bien sur la defense de la liberté d'expression.Que ne ferait on pas, en effet, pour la liberté d'expression comme l'affaire des caricatures de Mahomet vient de le prouver.

Il manque un élement dans ce débat public, c'est combien PPDA avait fait payer le silence qu'il avait accepté de garder sur ses années TFI. Tout finit par se savoir, y compris cette "compensation". Ce serait, d'après les radios, 3 500 000 euros!

La fameuse pénalité à laquelle PPDA a été condamnée n'est finalement que de 11,4 pct de la somme qu'il a déja touchée. il lui en reste 2 900 000!

Ah si tous les salariés qui partent en retraite pouvaient se faire payer leur discrétion sur leur bisbilles avec leur hiérarchie à ce tarif là, il n'y aurait plus de problèmes de plan sociaux !!