En Marge de Poznan,un article toujours non contredit
Un lecteur , que je remercie, me signale l'existence d'un site web très intéressant sur le problème du réchauffement climatique, www.pensee-unique.fr , qui remet en cause l'existence même de l'effet de serre. Cet effet de serre, inventé en 1896 par le chimiste suédois Arrhenius puis attaqué par différents savants physiciens et chimiste, n'aurais ainsi jamais été prouvé et serais donc tombé dans les limbes de l'histoire des sciences jusqu'à ce qu'il ne revienne récemment au premier plan de l'actualité pour expliquer le problème du réchauffement climatique et celui de l'effet des émissions de CO2 sur ce réchauffement.
Je vous suggère d'aller sur ce site dont l'auteur se présente comme un scientifique éminent et qui est suffisamment vulgarisateur pour qu'il soit facilement accessible à des non scientifiques. L'importance du sujet est en effet extrême puisqu'il nie tout simplement la véracité scientifique de cet effet de serre sur lequel est pourtant basé toute l'argumentation des efforts considérables de réduction d'émissions de CO2 que doit entreprendre l'humanité entière pour; en principe, éviter le réchauffement climatique dont nous constatons tous les jours l'émergence.
Entendons nous bien ce n'est pas le réchauffement climatique lui même qui est nié sur ce site, mais l'explication qui en est donné par les scientifiques du GIEC qui, d'après lui, est scientifiquement erronée. Or si la théorie de l'effet de serre est fausse, c'est Kyoto, l'après Kyoto, Al Gore et consorts qui s'écroulent! Cela vaut autant le coup d'aller passer une heure sur ce site que d'aller voir le film d'Al Gore.
L'auteur nous rappelle que la température de la terre résulte d'un équilibre entre l'énergie que nous recevons des rayons du soleil et celle que la terre rayonne elle même, comme tout corps chaud, vers l'extérieur.Car si la terre était un corps inerte qui ne faisait qu'absorber la chaleur des rayons du soleil, sa température ne ferait qu'augmenter inexorablement et nous n'existerions plus depuis longtemps.On appelle cet équilibre, l'équilibre radiatif.
Cet équilibre chaleur reçue/chaleur émise est influencée par l'atmosphère qui nous entoure et dont les nuages sont l'élement le plus important.Nous connaissons mal l'effet de l'atmosphère sur cet équilibre mais nous savons en tous cas que les nuages, qui sont un assemblage de cristaux de glace ou de goutelettes d'eau, font tomber immédiatement la température en absorbant les rayons du soleil alors que les gaz qui constituent cette atmosphère( temps clair) ne semblent pas avoir d'effet absorbant
L'effet de serre que nous avons tous eu l'occasion de ressentir est l'élévation de température que l'on constate quand on se trouve dans un serre et que l'on a attribué aux propriétes du verre qui les constitue. Le verre ordinaire arrète en effet les rayons infra rouges de la lumière solaire. Or, dans une serre, les rayons solaires entrants réchauffent les objets présents dans la serre(sol, parties fonçées,murs eventuels etc )qui réémettent ensuite des infrarouges dont la sortie est bloquée par le verre, rendant le processus auto accélérateur de la montée en température( appellé Back Warming, chauffage en retour et que le GIEC a transcrit en "forcage radiatif", plus esotérique et plus vendeur).Dans la manière de penser du GIEC et de nombreux climatologues, la terre et son atmosphère se comporterait de cette manière.
L'ennui, c'est que si dans une serre ,on remplace le verre ordinaire par un verre transparent aux infrarouges, on observe exactement la même élevation de température et que si on touche le verre de l'extérieur il est à une température tout à fait normale alors qu'il devait lui même devenir très chaud. Ce sont apparemment les parois et objets de la serre qui se réchauffent aux rayons du soleil et qui réchauffent eux mêmes par convection(mélange d'air froid et chaud) l'air de la serre.
Autre élement à prendre en considération. Les gaz et le CO2 n'ont qu'un rapport très lointain avec le verre et on ne voit pas bien pourquoi on les assimileraient les uns aux autres. La seule ressemblance est que le CO2 absorbe les rayonnements infra rouge et leur énergie alors que le verre leur est étanche, ce qui n'est pas la même chose.
Je passe sur les autres élements de la demonstration, tout aussi intéressants mais parfois un peu complexe pour les non spécialistes.Un ou deux néanmoins qui m'ont paru intéressants:
- Si le CO2 absorbe les infra rouges, plus il y a de CO2 dans l'atmosphère, plus il devrait faire barrage aux infra rouges en provenance du soleil qui représentent la moitié de l'énergie du rayonnement solaire et dans ce cas contribuer au contraire à faire baisser la température.Alors?
- L'homme rajoute une molécule de CO2 sur 100 000 d'air tous les 5ans.L'effet du doublement de la teneur en CO2, envisageable pour le fin du siècle, ne devrait se traduire que par une augmentation de température de 0.56 °C. Ca n'a rien a voir avec les catastrophes annoncèes.
- Ce sont les nuages qui sont des accumulations de grosses particules d'eau ou de glace qui peuvent refléter la lumière du soleil, pas les molécules de CO2 ou d'un gaz quelconque qui ne fonctionnent que par absorption de l'énergie du rayonnement avant d'en réemettre un qui lui est propre.Le CO2 ne peut donc réflechir vers le sol les rayonnement de la terre ou vers le vide intersidéral celui du soleil.
- La planète qui est un corps vivant très complexe peut réagir contre un changement de température de manière positive ou négative. La grande faiblesse des chiffres du GIEC réside dans la prise en compte de réactions négatives et sans base fondée sur la valeur de ces effets.
- L'effet de serre, s'il existe, devrait être plus sensible à l'Equateur qu'aux poles et on devrait observer une repartition des températures dans l'atmosphère comme ci contre avec un "hot spot" à 10 000M d'altitude au dessus de l'équateur. Or le suivi par les satellites des températures réelles dans l'atmosphère ne montre absolument aucun effet de ce type.Il n'existe as dans l'atmosphère réelle une "empreinte de l'effet de serre" qui en validerait l'existence.
- Les propriétés radiatives des nuages sont infiniment plus importantes que celles de molécules de CO2. Elle sont même sensibles par l'homme qui sait parfaitement que nuages rime avec basse températures. Par ailleurs, l'eau sous forme liquide, vapeur ou glace est infiniment plus pérsnete dans l'atmosphère que le CO2. Et pourtant le GIEC n'a pas tenu compte de l'impact de l'eau et de l'évolution de son pourcentage dans ses modèles mathématiques
Alors me direz vous, si l'effet de serre n'existe pas, qu'est ce qui explique le réchauffement climatique qui lui ne semble pas contestable? Vous le saurez dans un article suivant