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CaDerange
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7 décembre 2008

En Marge de Poznan,un article toujours non contredit

Un lecteur , que je remercie, me signale l'existence d'un site web très intéressant sur le problème du réchauffement climatique, www.pensee-unique.fr  , qui remet en cause l'existence même de l'effet de serre. Cet effet de serre, inventé en 1896 par le chimiste suédois Arrhenius puis attaqué par différents savants physiciens et chimiste, n'aurais ainsi jamais été prouvé et serais donc tombé dans les limbes de l'histoire des sciences jusqu'à ce qu'il ne revienne récemment au premier plan de l'actualité pour expliquer le problème du réchauffement climatique et celui de l'effet des émissions de CO2 sur ce réchauffement.

Je vous suggère d'aller sur ce site dont l'auteur se présente comme un scientifique éminent et qui est suffisamment vulgarisateur pour qu'il soit facilement accessible à des non scientifiques. L'importance du sujet est en effet extrême puisqu'il nie tout simplement la véracité scientifique de cet effet de serre sur lequel est pourtant  basé toute l'argumentation des efforts considérables de réduction d'émissions de CO2 que doit entreprendre l'humanité entière pour; en principe, éviter le réchauffement climatique dont nous constatons tous les jours l'émergence.

Entendons nous bien ce n'est pas le réchauffement climatique lui même qui est nié sur ce site, mais l'explication qui en est donné par les scientifiques du GIEC qui, d'après lui, est scientifiquement erronée. Or si la théorie de l'effet de serre est fausse, c'est Kyoto, l'après Kyoto, Al Gore et consorts qui s'écroulent! Cela vaut autant le coup d'aller passer une heure sur ce site que d'aller voir le film d'Al Gore.soleilterre

L'auteur nous rappelle que la température de la terre résulte d'un équilibre entre l'énergie que nous recevons des rayons du soleil et celle que la terre rayonne elle même, comme tout corps chaud, vers l'extérieur.Car si la terre était un corps inerte qui ne faisait qu'absorber la chaleur des rayons du soleil, sa température ne ferait qu'augmenter inexorablement et nous n'existerions plus depuis longtemps.On appelle cet équilibre, l'équilibre radiatif.

Cet équilibre chaleur reçue/chaleur émise est influencée par l'atmosphère qui nous entoure et dont les nuages sont l'élement le plus important.Nous connaissons mal l'effet de l'atmosphère sur cet équilibre mais nous savons en tous cas que les nuages, qui sont un assemblage de cristaux de glace ou de goutelettes d'eau, font tomber immédiatement la température en absorbant les rayons du soleil alors que les gaz qui constituent cette atmosphère( temps clair) ne semblent pas avoir d'effet absorbant

L'effet de serre que nous avons tous eu l'occasion de ressentir est l'élévation de température que l'on constate quand on se trouve dans un serre et que l'on a attribué aux propriétes du verre qui les constitue. Le verre ordinaire arrète en effet les rayons infra rouges de la lumière solaire. Or, dans une serre, les rayons solaires entrants réchauffent les objets présents dans la serre(sol, parties fonçées,murs eventuels etc  )qui réémettent ensuite des infrarouges dont la sortie est bloquée par le verre, rendant le processus auto accélérateur de la montée en température( appellé Back Warming, chauffage en retour et que le GIEC a transcrit en "forcage radiatif", plus esotérique et plus vendeur).Dans la manière de penser du GIEC et de nombreux climatologues, la terre et son atmosphère se comporterait de cette manière.

L'ennui, c'est que si dans une serre ,on remplace le verre ordinaire par un verre transparent aux infrarouges, on observe exactement la même élevation de température et que si on touche le verre de l'extérieur il est à une température tout à fait normale alors qu'il devait lui même devenir très chaud. Ce sont apparemment les parois et objets de la serre qui se réchauffent aux rayons du soleil et qui réchauffent eux mêmes par convection(mélange d'air froid et chaud) l'air de la serre.

Autre élement à prendre en considération. Les gaz et le  CO2 n'ont qu'un rapport très lointain avec le verre et on ne voit pas bien pourquoi on les assimileraient les uns aux autres. La seule ressemblance est que le CO2 absorbe les rayonnements infra rouge et leur énergie alors que le verre leur est étanche, ce qui n'est pas la même chose.

Je passe sur les autres élements de la demonstration, tout aussi intéressants mais parfois un peu complexe pour les non spécialistes.Un ou deux néanmoins qui m'ont paru intéressants:

  • Si le CO2 absorbe les infra rouges, plus il y a de CO2 dans l'atmosphère, plus il devrait faire barrage aux infra rouges en provenance du soleil qui représentent la moitié de l'énergie du rayonnement solaire et dans ce cas contribuer au contraire à faire baisser la température.Alors?
  • L'homme rajoute une molécule de CO2 sur 100 000 d'air tous les 5ans.L'effet du doublement de la teneur en CO2, envisageable pour le fin du siècle, ne devrait se traduire que par une augmentation de température de 0.56 °C. Ca n'a rien a voir avec les catastrophes annoncèes. 
  • Ce sont les nuages qui sont des accumulations de grosses particules d'eau ou de glace qui peuvent refléter la lumière du soleil, pas les molécules de CO2 ou d'un gaz quelconque qui ne fonctionnent que par absorption de l'énergie du rayonnement avant d'en réemettre un qui lui est propre.Le CO2 ne peut donc réflechir vers le sol les rayonnement de la terre ou vers le vide intersidéral celui du soleil.
  • La planète qui est un corps vivant très complexe peut réagir contre un changement de température de manière positive ou négative. La grande faiblesse des chiffres du GIEC réside dans la prise en compte de réactions négatives et sans base fondée sur la valeur de ces effets.
  • hotspotL'effet de serre, s'il existe,  devrait être plus sensible à l'Equateur qu'aux poles et on devrait observer une repartition des températures dans l'atmosphère comme ci contre avec un  "hot spot" à 10 000M d'altitude au dessus de l'équateur. Or le suivi par les satellites des températures réelles dans l'atmosphère ne montre absolument aucun effet de ce type.Il n'existe as dans l'atmosphère réelle une "empreinte de l'effet de serre" qui en validerait l'existence.
  • Les propriétés radiatives des nuages sont infiniment plus importantes que celles de molécules de CO2. Elle sont même sensibles par l'homme qui sait parfaitement que nuages rime avec basse températures. Par ailleurs, l'eau sous forme liquide, vapeur ou glace est infiniment plus pérsnete dans l'atmosphère que le CO2. Et pourtant le GIEC n'a pas tenu compte de l'impact de l'eau et de l'évolution de son pourcentage dans ses modèles mathématiques

  Alors me direz vous, si l'effet de serre n'existe pas, qu'est ce qui explique le réchauffement climatique qui lui ne semble pas contestable? Vous le saurez dans un article suivant

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Commentaires
F
Bonjour, <br /> <br /> Je trouve très intéressant que des avis dissonnants s'expriment sur ce sujet, sur lequel je n'ai pas de position définitivement tranchée. Néanmoins, puisque vous critiquez la désinformation et les arguments erronés, vous accepterez bien volontiers ces quelques remarques... <br /> <br /> Lorsque vous parlez du CO2 qui absorbe les rayonnements infra-rouge (IR), cela produirait une rétention de chaleur sur Terre, qui en s'amplifiant (accumulation de l'énergie piégée), compenserait un éventuel manque dû à un barrage pour certains rayons solaires : et donc un réchauffement. <br /> Il faut savoir que dans cette optique-là, les réchauffement n'est pas tant dû aux IR provenant du Soleil qu'aux IR réémis par les objets terrestres réchauffés par les autres rayons solaires... <br /> <br /> Attention aux chiffres, qui peuvent paraître élevés ou faibles, comme le 0,56°C que vous citez : lorsqu'il s'agit de valeurs climatiques moyennes, des variations apparemment minimes peuvent exprimer des différences considérables (on évalue à seulement 1 ou 2 °C la différence entre des périodes glaciaires et interglaciaires...). De toute façon, ce n'est pas forcément la moyenne qui importe : c'est un paramètre de position, et le paramètre de dispersion est tout aussi fondamental. <br /> <br /> Vous semblez vous contredire au sujet des nuages : absorbent-ils ou réfléchissent-ils la lumière ? De plus, tout dépend des rayonnements dont on parle : IR ou autres, en provenance du Soleil ou de la surface terrestre... (par exemple, en cas de barrière, on peut avoir un effet "refroidissant" côté espace en empêchant des rayons d'entrer dans l'atmosphère, et un effet "réchauffement" côté terrestre, en empêchant des rayons de partir dans l'espace). <br /> <br /> Les nuages et l'eau sont effectivement des paramètres très importants à prendre en compte... et pas seulement à cause de leur abondance. Car il ne faut pas s'en tenir aux quantités : les caractéristiques intrinsèques des différentes molécules en jeu diffèrent et modifient les bilans (par exemple, le méthane est un gaz à effet de serre plus puissant que le dioxyde de carbone, et sa contribution est plus élevée que sa proportion). Un peu comme quand, pour calculer la note lorsqu'on fait les courses, on prend en compte les différents prix des articles achetés, et pas seulement leurs nombres. <br /> <br /> La nuit, les nuages sont associés à un réchauffement et non à un refroidissement, tout le monde peut le constater. On explique cela par un effet de serre, les nuages constituant un obstacle à la déperdition de chaleur en direction de l'espace. On peut fournir d'autres explications, mais pas nier le constat. <br /> <br /> Le fait qu'il existe des variations naturelles du climat n'implique pas automatiquement que l'humanité n'a aucune influence. Cela ne prouve rien, ni dans un sens ni dans l'autre. <br /> <br /> C'est pareil à propos du discours, potentiellement infondé, des écologistes et même du GIEC (je ne conteste pas qu'il y ait certains abus, mais ce n'est pas le sujet ici) : ils peuvent très bien avoir raison sans preuve (ou même en fournissant de fausses preuves) ! Cela diminue leur crédit mais ne démontre pas leur tort. Quand je suis perdu en forêt, si je prends une certaine direction sans aucun argument pour étayer ce choix, il y a quand même une possibilité que ce soit la bonne (et, dans le cas où j'aurais eu la chance d'être sur le bon chemin, je n'en aurais pourtant eu aucune preuve). <br /> <br /> Le commentaire de Z réclamerait de nombreuses remarques aussi mais je ne voudrais pas abuser de votre espace, alors seulement deux : <br /> - la fonte des glaces polaires peut conduire à une augmentation du niveau des mers si ces glaces étaient terrestres et non flottantes sur la mer (cas du Groenland et de l'Antarctique) ; <br /> - au niveau des chiffres évoqués (qui ne sont que des estimations, qui plus est sans source), il faut garder à l'esprit que ce ne sont pas forcément les valeurs en elles-mêmes qui importent mais les déséquilibres dans les flux (c'est un peu comme pour les chiffres du chômage : il y a sans arrêt des emplois créés et détruits et ce qui importe c'est la différence, lorsqu'un ministre vous dit que x emplois ont été créés, méfiance car il peut s'agir du chiffre de créations brut et non du différentiel net avec les disparitions dans la même période...). <br /> <br /> Pour en savoir plus, je vous recommande cet article : <br /> <br /> http://www.democratiedurableblog.fr/index.php?post/2008/12/22/Le-rechauffement-climatique-%3A-faisons-le-point<br />
Z
Merci d'avoir encore simplifié les travaux du site "pensee-unique". Pour ma part je ne peux pas croire au bien fondé de l'effet de serre. Pour celà il faut mettre en perspective l'histoire géologique de la Terre.<br /> Il se trouve que nous vivons une ère de réchauffement global du climat depuis 10 000 ans au milieu d'une période de glaciation. Il faut se rappeler que la calotte glaciaire arrivait jusqu'à la Somme il n'y que dix millénaires. Le phénomène est donc bien antérieur à l'activité humaine. Nous arrivons à la fin d'un cycle de 450 000 ans du CO2, et que des phénomènes de grande amplitude nous attendent, alternant périodes chaudes et froides, avant de retomber dans une ère bien plus froide à la fin au début du prochain cycle d'ici quelques 2000 à 5000 ans. Rapportés à nos 2000 ans de l'ère chrétienne, aux 7000 ans de l'humanité, aux 200 ans de l'ère industrielle, nous n'avons pas le recul nécessaire pour comprendre ces phénomènes dans leur globalité sur des périodes aussi courtes.<br /> Plus proche de nous, l'histoire du climat montre que le XVIè siècle fut très chaud, faisant disparaître la Mer de Glace par exemple, qui fut reconstituée au XVIIè siècle particulièrement froid (et désastreux pour l'agriculture en Europe et cause de nombreuses famines).<br /> Lorsque le Groënland a été découvert, il fut baptisé ainsi parce qu'il était verdoyant (Green Land), dépourvu de glace. Le réchauffement n'était pas encore dû à l'industrie.<br /> On a découvert des inscriptions sur un rocher au Groënland qui dateraient de 6000 ans, époque où la glace ne recouvrait pas tout. On attribue alors la révélation de ces inscriptions au réchauffement climatique dû à l'effet de serre sans se demander comment il se fait que 6000 ans plus tôt ce même endroit n'était pas recouvert de glace. Il témoigne pourtant bien d'un cycle.<br /> Il y a quarante ans, on s'inquiétait pour le refroidissement de la planète avec les mêmes inquiétudes et autant d'arguments péremptoires. Je vous conseille d'aller voir les travaux du Cercle de Zététique sur ce point.<br /> A chaque nouvelle catastrophe on nous dit "ce n'était pas arrivé depuis cinquante ans", sans réfléchir au fait que c'est déjà donc bien arrivé plus tôt et sans qu'à l'époque on songe que c'était dû à l'effet de serre. Pourquoi une catastrophe d'antan serait naturelle autrefois, et due à l'effet de serre aujourd'hui ?<br /> Après l'éruption du Pinatubo en 1995, tous les spécialistes s'accordaient pour dire que cette éruption allait perturber le climat mondial pour plusieurs décennies. Ce fait est désormais oublié et c'est à l'activité humaine que le changement climatique est attribué, alors que la moindre éruption volcanique représente plus années de production mondiale de CO2.<br /> <br /> Le climat se réchauffe ? Personne ne relaye l'information selon laquelle la température de la Terre a perdu 0,685 °C en 2006. Comment prédire avec exactitude un phénomène qui doit s'étudier sur des milliers d'années pour gommer les écarts naturels de la climatologie quand on n'a que 180 ans d'expérience et que les relevés de températures n'étaient pas globalisés. Il n'y que quelques décennies que nous pouvons relever les températures en mer de manière scientifique et ainsi avoir des résultats fiables sur l'ensemble de la planète.<br /> Oublierait-on que depuis 4,5 milliards d'années le climat de la Terre n'a jamais cessé de se modifier ? L'apparition de l'Homme aurait-elle dû figer le climat ? Ne serions-nous pas seulement en train de nous rendre compte que la Terre a ses évolutions propres en tant qu'entité vivante (Voir "L'hypothèse Gaïa" de John Lovelock à ce propos) et que la présence humaine n'a pas tant d'influence que ça ? Il y a même beaucoup de prétention à imaginer que l'Homme seul est responsable du changement climatique. D'ailleurs aucun chiffre ne compare la production de C02 par la vie en général et l'activité humaine en particulier, histoire d'avoir un élément de comparaison. On ne nous montre que des chiffres relatifs, comparant une année ou une période à l'autre, sans repère fixe.<br /> <br /> Alors le travail a été bien fait par les écologistes, assenant, affirmant, martelant l'effet de serre. La conférence d'il y a deux ans a été une extraordinaire mascarade scientifique. Les scientifiques du GIEC (Grosse Idiotie Ecologique Commune) n'ont pas pu démontrer quoi que ce soit, mais ont sommé d'apporter la preuve contraire pour valider leur théorie. On n'en est plus dans la démonstration scientifique, mais dans l'affirmation doctrinale. C'est une peu l'histoire de la poudre contre les éléphants. Je saupoudre la Seine-et-Marne de poudre contre les éléphants, et j'affirme que ça fonctionne puisqu'il n'y a pas d'éléphants en Seine-Et-Marne, et je demande aux scientifiques de me prouver le contraire pour démonter ma poudre est inefficace.<br /> D'un point de vue de la démarche scientifique c'est assez ahurissant. Quand on part avec un résultat en tête, on peut toujours démontrer quoique ce soit. Une nièce en Math-Sup m'a démontré que 1 = 3 avec une rigueur scientifique apparente. Pourtant on sait que 1+1 n'est pas 3. Il suffisait de creuser un peu pour trouver la faille.<br /> Mais comme disait Himmler : "Mentez, mentez, il en reste toujours quelque chose". La méthode est éprouvée. Pour toujours désormais, le réchauffement climatique est attribué à l'activité humaine, sans preuve. Mais c'est pour bon nombre de gens un fait établi, indiscutable, comme l'atteste la réaction à ce billet de Nonow en dépit de votre article, sans discussion justre en affirmant ce qu'on lui a répété. Ne parlons pas des cris d'orfraie qui atteignent Claude Allègre, pourtant un des meilleurs spécialistes mondiaux de la question, et qui ose affirmer qu'il est peu probable que le changement climatique soit l'œuvre de l'Homme. Aussitôt il est accusé de nier le réchauffement climatique.<br /> <br /> Et pour confirmer le tout on nous raconte les pires bobards :<br /> - la fonte de la calotte glaciaire va faire monter le niveaux des mers. J'ai jamais vu un glaçon faire monter le niveau du pastis en fondant, Archimède doit s'en retourner dans sa tombe, mais tout le monde avale ça sans broncher.<br /> - les glaciers fondent. Sauf que le Mont-Blanc et l'Himalaya voient leur hauteur croitre en raison de l'épaississement de leur glacier, et l'Antarctique s'épaissit de jour en jour. Le Mont-Blanc mesure officiellement 4810 mètres depuis plus d'un an.<br /> - la déforestation serait cause du réchauffement. Or il se trouve qu'un arbre adulte, n'absorbe quasiment plus de CO2 hormis pour la fabrication des ses feuilles, et que le bilan est nul avec sa propre respiration. Pour aborber du CO2 il faut que l'arbre soit en croissance. On ne dit pas non plus qu'un mètre carré d'herbe absorbe autant de CO2 qu'un chêne de 30 mètres ! Pour stocker du carbone, il faudrait abattre des forêts, et laisser les troncs pourrir pour qu'ils soient absorbés par les sols, restituant le carbone à la terre, et replanter des jeunes arbres qui, en pleine croissance stockeraient plus massivement du carbone.<br /> - l'automobile créerait du réchauffement. Or ce n'est que 20 % de la production mondiale. Rien que le krill absorbe autant de carbone que ce qui est produit par la consommation mondiale de l'automobile. Et toute la sédimentation marine n'est ni plus ni moins que du carbone stocké sous forme de carbonate de calcium. Des milliards de tonnes par an, au bas mot.<br /> - jusqu'à Evelyne Dhéliat qui nous explique qu'il ne faut pas mettre trop de chauffage dans sa voiture pour ne pas réchauffer la planète. Il vaut mieux donc avoir froid dedans sa voiture et laisser la chaleur du moteur réchauffer les rues... Allez lui faire comprendre que la chaleur provient du moteur et qu'elle sera produite dans tous les cas...<br /> <br /> <br /> Et je passe sur d'autres nombreux arguments de bon sens et d'observation qui font mettent toute la théorie de l'effet de serre bien en doute.
N
La véritable question n'est pas uniquement liée au CO2 présent dans l'atmosphère. Il faut prendre en considération bien plus que cela. Pourquoi l'augmentation de la chaleur est plus ressentit sur les pôles? Uniquement parce que l'endroit où l'atmosphère est la plus fragilisée ce trouve au dessus des pôles. Le CO2 contrairement a ce que tu annonces a son role dans le réchauffement climatique. Meme s'il n'est pas la principale source de ce fléau, il y contribut grandement. Il y a plein de choses qui rentre en compte, peut etre trop mais les gouvernements, associations, centre de recherches et j'en passe ignore totalement le fait que telles ou telles choses si ont les accumules provoquent un réchauffement climatique. Parce que c'est facile pour tout le monde de se dire a ben non c'est pas ceci c'est pas cela, mais alors c'est quoi? Si on remet les choses a leur place et qu'on regarde sur la globalité du probleme chaque chose est a prendre en considaration uniquement si elle est liée au reste.
G
Le candide que je suis s'est souvent fait une réflexion simple, simpliste peut-être ...à savoir : des milliers, voire des millions d'années avant notre ère, notre belle planète a connu des périodes de glaciation, puis de réchauffement ... Pourtant, les hommes à cette époque ne se comptaient pas en milliards d'individus, les gaz à effet de serre n'avaient pas encore été "inventés" ... bref, l'activité humaine ne peut être tenue pour responsable de ces bouleversements climatiques qui ont, poutant, bel et bien existé. Certes, le processus semble s'être considérablement accéléré , mais on peut tout de même se poser la question : le réchauffement actuellement constaté n'est il pas fondamentalement lié à autre chose qu'à la pollution provoquée par l'homme ?
CaDerange
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