Brèves de Blog énergétique.

• Tout le monde semble se ruer sur les fameux sables bitumineux de l'Alberta, au Canada. Après les Total, Statoil etc voiçi un intervenant nouveau dans le paysage pétrolier, la compagnie Abu Dhabi National Energy Company qui vient de racheter la compagnie canadienne Northrock Resources Ltd,le tout pour 2 milliards de dollars.
• La Libye a longtemps éte considéré comme un pays infréquentable, en particulier après que son leader Mouammad Kadhafi ait nationalisé les avoisr des pétroliers dans les années 74/75.L'age et la montée en sagesse aidant, il est à nouveau considéré par la communauté internationale comme fréquentable et les pétroliers internationaux sont peu à peu revenus chercher à nouveau sur le territoire libyen. C'est le cas de l'américain ExxonMobil, de l'anglo néerlandais Shell et du français Total et d'une quarantaine d'autres.Le dernier grand non encore revenu , BP vient d'annoncer également son retour;
  Il est vrai que, du fait de plus de 20 ans d'embargo , la Libye est quasiment un territoire vierge dont les réserves sont estimées à 39 milliards de barils de brut, les plus fortes d'Afrique devant celles du Nigéria et de l'Algérie.Quant au Gaz il y en aurait pour 1500 Milliards de m3, les quatrièmes du continent africain.
  Les autorités entendent qu'en 2007 ,pas moins de 300 puits nouveaux soient forés sur le territoire.
• Les six pays du Conseil de Coopération du Golfe, Arabie Séoudite, Kuweit, Qatar, Emirats Arabes Unis,Barhein et Oman, tous pays producteurs de pétrole ou de gaz et tous monarchiques, se sont mis d'accord en 2001 pour créer une monnaie unique pour les années 2010. Une sorte d'euro du golfe en quelque sorte. D'ores et déjà une union douanière existe qui permet les échanges de marchandise.La création d'une telle monnaie par un groupe de pays qui disposent de 40pct des réserves prouvées de la planète aurait sans doute des conséquences considérables sur un marché du pétrole où tout est négocié en dollars que cette nouvelle monaioe pourrait concurrencer.
  Pour y arriver nénamoins, il faut que la situation économique de pays fortement différents puissent converger sur des critères communs puisque, comme nous avons pu le voir en Europe,les déséquilibres et problèmes de chacun des pays supports de cette monnaie, affectent ainsi ceux des autres membres.Or pour l'instant les critères de cinvergnece n'ont pas encore été établi. Autre sujet d'inquiétude la chute du dollar qui aurait des effets inflationnistes que certains souhaterainet contrebalancer en rattachant leru monnaie nationale à un panier de monnaie.
  En d'autres termes c'est bon à savoir mais il n'y pas le feu...
• Un rappel de ce que les différentes énergies ne sont pas toutes équivalentes en terme de dangérosité pour l'homme qui nous vient de Russie où un coup de grisou vient de faire 38 morts dans une mine de charbon en Sibérie.C'est la deuxime catastrophe de ce type dans les mines du géant minier soviétique Evraz, propriété de l'oligarque Roman Abramovitch et issue de la privatisation des sociétés d'Etat.
  Les mineurs etant payés à la tache avaient l'habitude de truquer les détecteurs de gaz pour ne pas être interrompus dans leur travail par les alarmes. Un exemple de l'absence d'une culture de sécurité dans toute l'ex Union Soviétique dont je vous avais déjà signalé l'importance dans la catastrophe de Tchernobyl.
• Les éoliennes ont de la peine à se faire accepter dans leur voisinage proche car , disent ceux qui les supportent, elles sont bruyantes.Le National Aérospace Laboratory hollandais, dans le cadre du projet européen Sirocco( Silent Rotors by Acoustic Optimisation) vient de montrer que ce bruit est essentiellement du par l'échappement de l'air par la face arrière des pales.Pour nréduire cette nuisnace sonore il faudrait soit modifier le dessin des pales soit placer ders sortes de brosses sur cette face arrière qui faciliterait le contact de la päle et de l'air.
  Le gain en réduction du niveau sonore serait, d'après le National Aérospace Laboratory, de 3 à 6 decibels ce qui est tout à fait considérable